L’expression est de Moctar Sow, dans Malikilé. « L’histoire politique récente du Mali est marquée par une constante : chaque transition a accouché d’espoirs im menses et de désillusions tout aussi profondes. Ce paradoxe n’est pas une fatalité, mais le résultat d’une erreur récur rente : croire que le pouvoir se délègue, qu’il peut se mor celer en parts à distribuer entre les forces du moment………..Le Mali n’a plus droit aux erreurs du passé. La transition actuelle n’a de sens que si elle s’ex trait de la logique des postes pour entrer dans celle du projet national. Faute de quoi, elle ne sera qu’un épisode de plus dans la longue chronique des occasions manquées ».
Source : Le Challenger
Lire l’article original ici.