Une œuvre collective au service de la société malienne.
La constitution malienne ne doit pas être perçue comme un texte immuable ou divin, mais comme une œuvre collective, créée par le peuple pour organiser et réguler la société. C’est un pacte social qui a pour objectif principal de promouvoir le bien-être commun et de garantir un équilibre entre les droits et devoirs des citoyens et des gouvernants.
Un texte humain, au service des citoyens.
Contrairement aux textes religieux, qui sont considérés comme des vérités absolues et éternelles, la constitution malienne est humaine. Elle n’a pas été dictée par une autorité divine, mais rédigée par des représentants élus du peuple. Elle reflète les aspirations et les valeurs de la société malienne à un moment donné de son histoire et doit pouvoir évoluer avec le temps pour répondre aux nouveaux défis.
La flexibilité au cœur de la constitution.
La véritable force de la constitution réside dans sa capacité à évoluer et à s’adapter aux réalités sociales, économiques et politiques. Alors que les textes sacrés ne peuvent être modifiés, la constitution est conçue pour s’ajuster aux besoins du peuple et aux transformations de la société. C’est une réflexion collective qui se nourrit des progrès et des réformes nécessaires pour assurer un avenir meilleur.
Un pacte social en constante évolution.
La constitution, un instrument pour l’avenir.
En définitive, la constitution n’est ni une loi divine ni un texte absolu. Elle est humaine, façonnée par le peuple pour organiser une gouvernance juste et équilibrée. La véritable force de la constitution réside dans sa capacité d’adaptation et sa flexibilité, ce qui en fait un instrument précieux pour garantir l’avenir du pays. Elle doit rester au service du peuple, évoluer avec lui, et continuer à jouer son rôle central dans l’organisation de la société malienne.
Source : #MP #Cyberjournal
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