À l’inverse, le budget du ministère de la Défense augmente de 43,354 milliards et le budget prévu pour les
projets d’infrastructures de base et de développement social est augmenté de 50 milliards FCFA. Le budget
d’État est désormais arrêté en recettes à 2 739,697 milliards FCFA et en dépenses à 3 279,886 milliards FCFA. Le déficit prévisionnel passe de 580,986 milliards à 540,189 milliards FCFA.
Encore des efforts !
Comme des arêtes de poisson, les budgets des institutions sont restés coincés dans la gorge de nombreux Maliens. Et il y a de quoi. En effet, leurs hauteurs suscitent indignation, frustration, colère, au moment où la majorité crève la dalle sans pour autant être exempte des contributions à l’effort national pour résorber les énormes et innombrables défis qui assaillent le pays. La demande de réduction exprimée depuis belle lurette par les nombreuses voix s’était heurtée jusqu’ici à l’autisme des princes du jour.
Bravo à ces réajustements longtemps attendus ! Tard vaut mieux que jamais. Si l’effort est apprécié, un peu
valant mieux que rien, il n’est pas suffisant dans un pays miné comme le Mali actuel de tous les maux.
L’accent est aussi à mettre sur l’utilisation judicieuse de ces ressources…publiques.
Pas question !
A Kayes, dans le village Koniakary, un jeune homme âgé de 20 ans a tenté d’épouser la femme de son grand frère. L’acte a suscité un tollé d’indignations voire de vives réactions dans la localité, le considérant comme un défi à ses traditions et valeurs sociales. C’est pourquoi les autorités coutumières et religieuses l’ont jugé inacceptable selon les informations publiées sur les réseaux sociaux. Les notabilités locales ont appelé à la vigilance des familles pour préserver la cohésion sociale.
Mariées et si perverses !
Un moment dit de détente et un espace d’intimité entre femmes mariées ? Hum !!! Elles appellent ça « soirées Dior » de plus en plus répandues à Bamako et dans d’autres villes du Mali selon toute vraisemblance. Un moment de détente ? Ça ! oui ! car au cours de ces ‘’rassemblements privés’’, les participantes se privent pas
de plaisir. Elles se gavent, boivent, devisent, rigolent… Un espace d’intimité ? Ah, ça ! Non!
Elles se font tellement plaisir qu’elles se filment et postent, sur la toile mondiale, leurs vidéos, exposant leur intimité au public. Les images obscènes diffusées sur les réseaux sociaux font l’objet de critiques sévères voire de débats enflammés.
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